Traduire James Matthew Barrie au XXIe siècle

Ce site a vu le jour, dans sa forme antérieure, en 2005/2006. Il était la création de votre servante et était mis en forme par celui qui devait devenir, 15 ans plus tard, mon mari, Sébastien Le Gall.

Faute de temps, mais aussi par lassitude de le voir pillé sans vergogne, il n’était mis à jour que très sporadiquement. Vous pouvez découvrir l’histoire derrière le site ici.
J’ai décidé de lui redonner une seconde jeunesse (ou enfance) et de le nourrir un peu plus copieusement.
En revanche, je n’admets toujours pas le plagiat et le vol de documents (parfois, par des universitaires dont je ne citerai pas les noms ou même par une célèbre encyclopédie !). C’est pourquoi, passim, j’ai introduit quelques petites erreurs afin de servir de filigrane à mon travail.
Je ne refuse jamais un document ou une aide si on me les demande honnêtement.
Tous mes travaux barriens (et, parfois, d’autres sans rapport) furent publiés sous le nom du pseudonyme Céline-Albin Faivre jusqu’en avril 2021. J’ai décidé de me détacher de ce nom de plume et d’user désormais de celui qui est au plus près de mon identité, Céline Da Viken Le Gall. Dans tous les cas, il s’agit d’une seule et même personne : d’abord une jeune femme dévouée au génie écossais, qui a désormais bien vieilli, mais dont l’esprit demeure enchanté par l’humour subtil et la profondeur d’un écrivain d’exception.
Bien sûr, nous vivons dans un monde post-humaniste et les histoires et la langue de Sir James peuvent paraître bien surannées à certains, pourtant le propos de Barrie est universel et intemporel : il nous parle à jamais du cœur des hommes.

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Pour m’écrire, vous pouvez utiliser cette adresse : celinedavikenlegall[at]sirjmbarrie[dot]com

(remplacer at par @ et dot par .)

Ou bien écrire à Céline-Albin Faivre chez Actes Sud ou Terre de Brume, mes éditeurs, qui transmettront le courrier.